La
En effet, lors de difficultés d’ordre psychologique la nourriture semble être alors la seule issue de secours…
Mais ne pensez vous pas qu’il soit possible de pointer du doigts les situations dans lesquelles les fringales apparaissent et, petit à petit, d’acquérir la capacité à résoudre ces difficultés autrement qu’en mangeant?
C’est justement l’un des points sur lesquels je vous propose de travailler avec moi pour vous libérer de ces kilos « émotionnels ».
Voir l’article du Monde :
Les émotions, ça creuse… surtout les femmes
« On mange sous le coup de l’émotion, a-t-on souvent coutume de dire. C’est le cas de 52 % des femmes, contre 20% pour les hommes, selon des travaux sur « l’émotionnalité alimentaire » et le surpoids publiés mercredi 10 avril dans l’American Journal of Clininal Nutrition, réalisée à partir d’un échantillon de 35 641 adultes français participant à l’étude Nutrinet-Santé et interrogés en ligne.
L’influence des facteurs psychologiques sur le surpoids et l’obésité est de plus en plus reconnu. « Mais peu d’études explorent le lien entre le surpoids et l’émotionalité alimentaire » (le fait de manger sous le coup de l’émotion), explique Sandrine Péneau, chercheuse à l’Unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN, U557Inserm-U1125Inra-CNAM-université Paris-XIII), dirigée par le professeur Serge… »